Une étude etc..etc démontre que la libre-circulation exerce une pression sur les salaires. Comme si on pouvait l'ignorer avant la votation, malheureusement une grande partie du peuple suisse est prête à gober n'importe quoi, même les contre-vérités les plus flagrantes. Les syndicats et la gauche réunis scandaient en coeur : NOUS CONTROLERONS! On ne peut pas dire que, jusqu'à ce jour, ils ont été très performants dans leurs actions.
Une anecdote au passage. Un artisan de Genève engage un frontalier. Pomme pourrie dans un panier de pommes saines, il contamine tout le panier (selon cet artisan le cas est loin d'être unique). Le patron le licencie... ---> les syndicats sur le dos.
Un peu de jugeotte. Un frontalier dont les charges sont beaucoup moins importantes que celles de l'habitant genevois acceptera un salaire très inférieur à celui-ci qui doit souvent payer un loyer de plus de 2500.- mensuel pour un appart. de 2 pièces (vaudoises). Quand aux compétences... Très souvent il s'agit de celle de la grande g. çà je peux le constater chaque jour dans l'exercice de ma profession.
On payerait trop de primes de caisse maladie dans le Canton de Vaud. Les réserves remplies principalement par les Romands serviraient, par principe de vases communicants, à combler quelques trous en Suisse allemande, dans les cantons qui ont baissé leurs impôts par exemple. Solidarité confédérale quand tu nous tiens. Refrain éternel de nos politiciens nationaux, mythe soigneusement entretenu. Le morcelage en cantons n'a de nos jours plus aucune sens, l'avenir est dans 2 ou 3 régions à autonomie limitée. Il est évident que ce n'est pas pour demain. Cette idée sera ardemment combattue par les potentats qui tiennent à leur siège dans les législatifs et les exécutifs cantonaux. Pourtant là aussi quelles possibilités d'économies!
Bon! On peut toujours commencer par un tout petit pas et créer une caisse publique romande.
Notez bien que dans l'assurance de base il n'y a aucune différence de prestations entre caisses (tiers payant et tiers garant excepté), donc cessez de nous "bassiner" avec cette argumentation.
Re-voilà l'histoitre du "greffier" de Vevey. Elle nous manquait celle-là! Pour publier cette histoire sans aucun intérêt il aura fallu presque sacrifier la forêt amazonienne. Un pavé pour occuper de la place dans un journal dont l'épaisseur ressemble de plus en plus à celle d'une feuille de cigarette. A quand la fin de cette saga débile. Mon écoeurement: un employé de l'Etat condamné, quelle chance pour ces tribunaux en manque de boulot, ils peuvent ainsi consacrer du temps pour "juger" de tels cas d'importance "stratégique".
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