27.12.2011 Solidarité…soyons solidaires...solidaire. Mais c’est quoi ?

En cette période de fêtes surgit immanquablement le leitmotiv approprié à ce temps empreint de bonne volonté et de philantropie : Solidarité…soyons solidaires…solidaire…faisons preuve de solidarité !

Quel beau sujet pour une épreuve du bac de philosophie : « Peut-on encore être solidaire au XXIe siècle ? ». Le monde est devenu individualiste, les amis, virtuels. Que l’on ne se touche, que l’on ne se « frotte » surtout pas. En fait cette évolution est tout-à-fait normale, la solidarité, la vraie, celle du cœur, celle de l’âme en plus de celle de la générosité ne peut se pratiquer qu’au sein de communautés à taille humaine. Elle ne peut exister qu’entre personnes qui se « connaissent », qui ont la même culture, la même langue, les mêmes expressions, le même langage, le même mode de vie, en bref qui ne sont pas différents de nous, qui sont à notre portée. Je le dis : «  de mêmes racines voilà le ciment d’un peuple ». J’ai été élevé dans un village qui, dans mon enfance, comptait environ 1500 habitants et pourtant on se connaissait presque tous par les enfants qui allaient à l’école, les membres du chœur mixte, les pompiers, la fête de Noël de la commune, etc. On savait que telle ou telle personne traversait une période difficile et on l’aidait anonymement par de petits gestes. Notre voisine, qui par la suite devint une artiste de renommée internationale, tirait à ses débuts de diable par la queue et ma mère, dans un geste très naturel, lui apportait un cake, une tarte ou des fruits qu’on allait cueillir chez ma grand-mère. La solidarité coulait de source dans notre commune comme dans bien d'autres.

Comment voulez-vous être solitaire autrement que pour vous donner une bonne conscience avec une personne qui ne parle pas la même langue que vous, qui ne fait rien pour s’intégrer, qui vit selon ses rites, refuse votre mode de vie et vos traditions mais qui en revanche sait si bien aller frapper à la porte des services sociaux.

La nature au cours des millénaires d’évolution a adapté les hommes à la région où ils doivent vivre mais l’homme qui se prend pour un Dieu veut tout bouleverser car il se croit intelligent : Mélangeons, transbordons, multi……ismons. Il ne se rend pas compte qu’il construit, en commettant conjointement  tant d’autres erreurs, sa propre fin.

24.12.2011 Le charcutier fait du PIP ! Normal au XXe siècle

Le scandale des prothèses PIP a fait tâche d’huile dans toute l’Europe et se répand maintenant dans le monde entier. Cette société qui fabriquait des produits destinés à être implantés dans le corps humain a été fondée par un ….. CHARCUTIER qui n’avait jamais appris la moindre notion de biologie, de physiologie humaine et n’avait probablement aucune connaissance du fonctionnement du système immunitaire de l’homme puisque pour son matériel il utilisait du silicone industriel qui pouvait contenir les additifs et des impuretés, ainsi que du matériel d’enveloppe instable et devenant poreux au fil du temps.

Après tout peut-on lui jeter la pierre à ce charcutier qui a voulu devenir riche sans trop se fouler comme le veulent la plupart de mes congénères vivants actuellement ? « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front » : trop ringard ! Nous avons aussi eu un ministre en la personne de Joseph Deiss qui nous racontait des âneries en nous disant : « N’importe qui peut faire n’importe quel travail ». Une telle déclaration ne fait que démontrer l’incompétence crasse de ceux qui nous dirigent et c’est valable dans tous les pays dits civilisés. L’économie fait n’importe quoi au mépris de la qualité et même de la sécurité. Un métier, un savoir-faire, des connaissances en matière de normes cela s’acquiert sur de nombreuses années d’études ou d’apprentissage avec des enseignants expérimentés.

Nous voyons tous les jours des ouvriers sur des chantiers de construction qui parlent et comprennent à peine le français,  sans aucune formation indiscutablement prouvée, faire des travaux qui sont en prise directe avec la sécurité future des habitants des immeubles qu’ils construisent. Et dans l’industrie même topo : des chefs d’ateliers dotés d’une conscience professionnelle qui font des heures supplémentaires pour corriger les bourdes faites par des incompétents. Alors des drames il y en aura encore et toujours plus. De la qualité il y en aura toujours moins et les montagnes de déchets ne cesseront de croitre. De cela nos Robins des Bois verts ne parlent pas .

21.12.2011 Les leçons d’un séjour professionnel 2

Les 2 mois passés en Allemagne au cœur de la crise financière des pays de la zone euro démontre à quel point la dichotomie entre le peuple et ses dirigeants est grande. Angela Merkel soutient un certain nombre d’initiatives tout en essayant de mettre des pare-feu notamment vis-à-vis de la BCE mais prône pour le maintien de l’Allemagne au sein de la zone € et dans l’UE. Elle demande un plus grand effort encore à sa population qui ne bénéficie pas d’autant d’avantages sociaux que les voisins français. On subventionne largement les pays comme la Grèce, le Portugal, l’Espagne, des pays qui ont fait des dépenses somptuaires comme des fontaines majestueuses construites avec les fonds européens ou en accordant des avantages fiscaux ou plutôt des défiscalisations de contribuables très riches et en fermant les yeux sur les fraudeurs et magouilleurs. J’ai eu quantité de discussions avec ces gens du peuple, ouvriers, employés, cadres de gauche comme de droite. A une quasi unanimité ils disent y en a marre, sortons de l’euro, sortons de l’UE nous n’avons rien a y gagner, nos exportations ne souffriront pas car si nous exportons c’est grâce à notre qualité et notre savoir faire. Ils ont raison et nous Suisses avons aussi raison lorsque nous disons STOP à l’européanisation nous exporterons grâce à notre qualité et notre savoir-faire. Vous souvenez-vous de l’arbalète ? Soyons meilleurs que les autres, soyons plus durable que les autres et faisons-le savoir.  

Les commentaires dans le journal Le Matin.  

Bizarre, bizarre me dit-on dès qu'on écrit un commentaire favorable à la peine de mort dans ce canard repaire de gauchistes, dans l'heure qui suit il est censuré et pourtant le retour de la peine éliminatoire est INÉLUCTABLE que les bien-pensant et les complices passifs de criminels se plantent cette évidence bien profond dans leur cerveau car il s'agit tout simplement de la survie de communautés entières.

20.12.2011 Les leçons d’un séjour professionnel 1

Au cours des 3 mois que je viens de passer à l’étranger pour mon entreprise en Algérie et en Allemagne j’ai appris bon nombre de choses que notre chère presse politiquement correcte et si orientée pôle gauche n’évoque jamais dans ses articles. J’ai été envoyé notamment en Algérie sur un projet d’installation de sécurité dans un complexe industriel (il en existe aussi dans ce pays). Au cours de ce séjour j’ai rencontré une chinoise d’une quarantaine d’années qui servait d’interprète entre les autorités, la population algérienne et les travailleurs chinois qui sont nombreux à travailler sur des chantiers largement subventionnés par la Chine. Le complexe dans lequel je travaillais est relativement proche de l’un de ces chantier que cette chinoise m’a fait visiter. Première surprise : les chinois vivent en complète autarcie. Seconde constatation : aucun employé ni ouvrier maghrébin. Devant mon étonnement Liou m’a expliqué que les autochtones n’étaient pas fiables, très peu travailleurs et plus enclins à la sieste alors que les chinois sont d’infatigables bosseurs. Elle m’a aussi dit que cette constatation pouvait s’étendre aussi à toute l’Afrique noire où les Chinois se sont implantés. QUELLE DÉCLARATION POLITIQUEMENT INCORRECTE  pour nous Européens qui ne voulons pas voir les choses en face. Nous en sommes à critiquer vertement la mainmise de la Chine sur l’Afrique mais à qui la faute, certainement au manque de motivation le la population locale au travail. Cette dame a d’ailleurs été surprise de voir le nombre d’officines qui promettent l’eldorado facile dans les pays qui accordent si généreusement l’asile à ce qu’elle a appelé des fainéants. Cela ne vous rappelle rien ?

19.12.2011 Nos services sociaux, la déconfiture.

Officiellement on encourage le maintien à domicile des seniors. Les coûts pour la communauté pour cette continuité de la vie des personnes âgées qui ne doivent pas être médicalisées sont de toute évidence bien inférieurs à un placement dans un établissement spécialisé qui en fin de compte n’est qu’un mouroir. Bien des personnes m’ont parlé de la situation d’un parent qui ne voulait pas quitter son domicile mais qui avait besoin d’une aide, d’un appoint. L’organisation du social est une affaire cantonale et je vais citer l’exemple du Valais qui clame toujours haut et fort qu’il a les coûts de la santé les plus bas de Suisse. C’est possible mais à quel prix. Prenons les postes qui sont indispensables à ces séniors qui ne l’oublions pas ont amené la Suisse dans le bien être où elle se trouve actuellement (on ne peut pas en dire autant des jeunes qui n’ont pas encore fait leurs preuves et qui très souvent passent leurs nuits dans des boîtes de nuit, y compris en semaine).

Les repas à domicile : une catastrophe ! Au pire ils sont cuisinés par des gens qui ne sont pas du métier, au mieux ils proviennent de restaurants qui ne pratiquent pas une cuisine adaptée au plus de 70 ans, ni diététique, ni variée.

Les aides à domicile : un service payant mais ultra-minimaliste. Un coup d’aspirateur, un vague coup de chiffon ; pour les lessives là c’est galère, la plupart de ces braves dames (probablement sans aucune formation ni re-formation) ne se savent pas se servir d’une machine moderne ; laver les carreaux, hors de question ! Bien souvent elles passent en tout et pour tout 1h1/4 par semaine au service de la personne.

Une infirmière pour faire quelques soins ? C’est nada si on ne suit pas un traitement lourd, venir mettre un liquide sur une mycose de pied d’une personne qui ne peut plus se pencher ce n’est pas dans les prestations.

En revanche on favorise les EMS (établissements en grande majorité privés) avec des directeurs grassement payés et les requérants d’asile dont certains touchent plus de 5000.- par mois pour subvenir à leur besoin. Voilà les effets de la gangrène du gauchisme !

Quant aux organisations de seniors on ne peut pas dire qu’elles font du boulot qui répond aux besoins. Pour organiser des voyages onéreux là elles sont bien présentes comme si la majorité des retraités était composée de gens fortunés. Aucun doute le système a besoin d’un bon coup de balai.

17.12.2011 Je suis de retour

Après  de longs séjours à l'étranger pour mon travail me voici de retour en Suisse pour les fêtes de fin d'année. La boite au lettre du blog déborde de courrier et plus particulièrement de copies de justificatifs de ce que touchent nos chers requérants (il y en a plus de 35, pas récents certes mais qui devraient nous ouvrir les yeux). 
J'en ai sélectionné deux que j'affiche sur ce blog. J'en publierai un autre plus tard (indemnité mensuelle > 5000.-)
Je reviendrai dans d'autre messages sur le résultat des élections fédérales, sur ce que pensent les Chinois des Algériens, les allemands de l'Europe et de l'islamisation dans leur pays.

16.8.2011 Bravo Mister Cameron

Un grand bravo à David Cameron. Il a eu la sagesse de dire tout haut ce que j’affirme depuis des années. Nous vivons dans une société en pleine déliquescence, les parents ne s’occupent plus de leur rejeton leur « éducation » est faite dans les crèches, puis ils divorcent pour un oui ou pour un non , ou offrent des exemples de couples homoparentaux qui ne sont pas l’image de ce que devrait être le symbole de l’équilibre ou se lancent dans des mariages multiculturels qui n’offrent plus aucun repère à leur progéniture. Monsieur le premier ministre faites en sorte que vos déclarations ne restent pas que de vaines paroles.

Le « clou » de l’intégration

Un immigré Kosovar dont notre économie (à moins que ce ne soit nos service sociaux) avait probablement besoin tue sa femme et assassine une fonctionnaire du service social. Il était certainement bien intégré dans notre pays….selon le barème de nos gauchistes.

9.8.2011 ROMS ET VIOLENCES EN ANGLETERRE

La vérité finit toujours par sortir du puits. La presse nous apprend que fin 2010 un jeune mendiant Rom a été tabassé à mort par ses congénères. Après enquête il s’avère que, ce que tout le monde savait déjà, ce mendiant comme tous les autres d’ailleurs alimentent un marché criminel. Il s’agit de réseaux quasi maffieux. Personne ne se pose la question du pourquoi même les roumains ne veulent pas de leurs roms, pourquoi ils les enferment derrière des murs. Un rom NE VEUT PAS travailler, il vole, mendie ou prostitue ses filles. Chez nous nous avons ceux qui les soutiennent (essentiellement des gauchistes) soit à cause d’un angélisme à tout crin, par crétinerie et par complicité passive c’est tout-de-même à se demander pourquoi, où est leur intérêt. Il est nécessaire d’empêcher ces migrants malfaiteurs d’exercer leur « métier » sur notre territoire. NE RIEN LEUR DONNER !!!

L’Angleterre ploie sous la violence

Indignez-vous disait un vieux sénile à qui on a accordé une audience qu’il ne méritait pas, en voilà un des résultats : violence, casse, incendies, vols, pillage. Cette propagande se répand surtout, la vision de ce qui se passe à Tottenham, Liverpool ou ailleurs le démontre clairement, dans les milieux des immigrés. Ceux qui cassent, brûlent, tabassent ne proviennent pas des milieux de tradition british c’est toute une faune majoritairement rejetée par leur pays d’origine qui ne veut pas de perturbateurs chez eux et qui ont émigré vers les « pays de Cocagne » que sont les pays développés depuis fort longtemps grâce au travail acharné de leurs ancêtres. Maintenant les jeunes, victimes de la contagion, se laissent entrainer et se joignent à eux pour commettre des actes délictueux. Il est tellement plus simple et moins fatigant de vivre en crapule que de travailler en honnête homme surtout que l’impunité leur est pratiquement accordée.

Ce brasier continuera à se répandre tant que l’on n’appliquera pas à nouveau la répression.

(Re)Découvrons la philosophie

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