jeudi 11 février 2016

11.2.2016 La vérité est très profondément enfouie mais elle commence à surgir.



Les journées qui commencent par un grand soleil vous offrent un démarrage dans la bonne humeur mais si en plus votre radio vous offre une émission dont l'interviewé est plein de bon sens, doté d'une vision éclairée du futur basée sur des faits vécus actuels ou passés ce qui fut le cas ce matin 11 février 2016 avec Malika Sorel, essayiste française auteure notamment de "Décomposition française. Comment en est-on arrivé là?" quelle joie, quel bonheur. Je dirai enfin une personne qui fait partie de ces rares personnalités qui voient clair sur l'état de l'Europe et du monde, sur cette immigration conquérante, envahissante, destructrice des valeurs et de la culture européenne, poison pour nos racines, incompatible avec nos valeurs. Je dois dire que j'ai eu énormément de peine à cacher ma joie, elle en a mis plein la gueule au gauchiste de service à la RTS (radio suisse romande) en la personne de Simon Matthey-Doret (peut-être en a-t-il fait une occlusion intestinale suite à cet entretien) et pourtant j'avoue que je ne suis pas favorable à la présence des femmes en politique car la grande majorité pense plus avec leurs tripes et leur entre-fesson qu'avec leur tête. La vérité est très profondément enfouie mais malgré nos politicards incompétents, nos pisse-copies, nos "éructeurs" médiatiques, elle commence à surgir.
Cette affirmation est aussi valable pour tous ces esprits chagrin qui se plaignent des résultats du 9 février, du franc fort, des relations bilatérales avec l'UE. Les déclarations du président du conseil d'administration de Lonza vont à l'encontre de toutes ces affirmations simplistes et surtout confortables, il dit ce que j'affirme depuis plus de 10 ans dans tous les commentaires que je peux faire dans la presse: l'avenir de notre économie N'EST PAS DANS LA GUERRE DES PRIX, il faut viser la qualité de haut niveau, j'ajoute: nous devons bannir les productions de "biens déchets" du même niveau que celles qui nous viennent des pays de l'Europe de l'est ou de l'extrême orient (Chine comprise). Cette haute qualité doit être produite par du personnel QUALIFIÉ et bien formé, pas celui que nous offre en majorité la libre circulation: beaucoup de "grandes gueules" qui savent se vendre par leur bagou mais qui à part çà n'ont rien à offrir.
Petite anecdote: je connais une entreprise vaudoise qui vend ses machine 10 fois plus cher que ses concurrents et cela sans difficultés, sans avoir besoin des largesses de l'UE çà  signifie que si nos patrons se bougent le popotin et ne se contentent pas d'un doux oreiller de paresse ils peuvent aussi y arriver avec ou SANS UE