Un responsable de la logistique d'une grande surface de bricolage suisse se plaint de la mauvaise qualité des produits chinois. De semaine en semaine cela devient plus grave dit-il.
Quoi de neuf? C'est ce que tous les professionnels affirment depuis pas mal de temps: les produits chinois sont plus que médiocre. Les exemples ne manquent pas: textiles, matériel d'installation électrique, outillage etc.
L'Europe a du créer un organisme d'alerte et de retour de produits.
La délocalisation se paye et se paye cher sauf pour ceux qui l'ont organisée et qui font des fortunes colossales au détriment et sur le dos du client qui, dans sa totale incapacité de discernement, continue à acheter de tels produits. Il est vrai qu'il n'a presque plus le choix. Pourtant certains ingénieurs européens ont affirmé que si les entreprises chinoises et d'autres pays orientaux produisaient aux standards de qualité et de durabilité des fabrications européennes d'il y a trente ans, leur production couterait plus cher en Suisse que ce qui serait produit localement. N'oublions pas: le bon marché est toujours trop cher!
Monsieur Nordmann, conseiller national socialiste, déclare qu'il est nécessaire d'aménager le temps de travail des parents pour favoriser le contact avec le bébé jusqu'à 6 mois. Et après? Oui et non monsieur Nordmann. L'enfant a besoin d'un encadrement "serré" de la part de ses parents non seulement les 6 premiers mois de sa vie mais tout au long de sa "construction", c'est-à-dire au moins jusqu'à 16 ans. Pas une éducation à distance ou prodiguée par les autres ou encore une éducation télésoir. En revanche juste: elle doit être équilibrée, père - mère (homme - femme).
Le problème réside dans le politique. Un monsieur Broulis qui veut augmenter la déduction pour les frais de garde, le PS qui veut plus de crèches. Restez un peu plus les pieds sur terre et n'allez pas chercher les origines de la délinquance chez les jeunes où elle n'est pas, je veux dire par là à l'extérieur de la famille.
Les Bernois font des propositions en ce qui concerne l'indemnisation des victimes des dégâts dus à la nature. Le principe de solidarité ne doit en aucun cas être remis en cause pour ce qui est des constructions faites à des endroits dont on ignorait la dangerosité mais, un gros MAIS...Envisager qu'un promoteur qui construirait dans une zone à risque serait obligé d'entreprendre au préalable des travaux de sécurisation, travaux qui seraient financés par les assurances, est complètement stupide et inconscient. Il faut interdire de construire dans les zones à risque comme le font de plus en plus de départements français et tant pis pour les promoteurs.
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