mardi 21 août 2007

21.8.2007 Carrefour, le four! Les Riches comme Atlas supportent seuls le finances du pays - Manque à gagner

Bien mauvaise nouvelle pour le consommateur, Carrefour vendu à la COOP. Dans un pays où les "muezzin" de l'économie clament sur tout les toits les bienfaits de la concurrence on peut se demander où elle se trouve. Coop avale Interdiscount, Waro et d'autres; Migros croque Denner! Ce ne sont pas les Aldi ou autres Lidl qui bousculeront le paysage de la distribution alimentaire (après de multiples essais de leurs produits j'ai pu constater que nous nagions dans le tout bas de gamme). Mais bon! c'était à prévoir. Après un premier essai il y a environ 20 ans à Romanel et Bienne, Carrefour s'était déjà retiré du marché suisse. On remet la compresse il y a quelques années en s'alliant avec un partenaire suisse dans un créneau similaire. C'était une ERREUR DE STRATÉGIE manifeste de l'enseigne française qui démontre une nouvelle fois que les managers ne sont pas à la hauteur. Première erreur: le partenariat, il faut faire cavalier seul pour être indépendant. Deuxième erreur: mauvaise étude de marché et de comportement de l'acheteur. Cette affirmation je suis en mesure de la faire puisque je me suis amusé il y a 2 ans, lorsque j'étais au chômage, à interroger deux jours durant tous les clients suisses d'un Carrefour situé en France voisine sur leur motivation. Le résultat était clair et net: ce n'étaient pas les prix (il faut dire qu'ils se situent pratiquement au niveau des prix suisses) mais le choix et la diversité des produits. A la suite de ce petit test j'ai écrit à la direction de Carrefour France pour leur prédire un nouveau "flop" en Suisse tout en leur proposant de changer de recette selon le processuus suivant: envoyer un de leur "génie" dans un de leur magasin en France et, pour utiliser un terme informatique, faire un copier puis ensuite venir en Suisse et faire un coller (d'où nécessité préalable de discuter avec le autorités helvétiques des suppressions des contraintes à l'importation). Managers de CORA, si vous suivez cet exemple, la Suisse vous est ouverte, j'en suis intimement persuadé! Et vous actionnaires de Carrefour c'est quoi cette stratégie financière: si je ne suis pas dans les 2 premiers je me retire. Qu'allez-vous faire si par malheur vous vous retrouvez N° 3 partout où vous êtes ? Vous jeter en bas de la Tour Eiffel?

Une étude sérieuse qu'on pourrait qualifier d'arithmétique à Bonzon tente de démontrer que les riches et les grandes entreprises sont quasiment seuls à supporter la charge fiscale de notre nation. Il y aura toujours de gens pour essayer "d'aligner des noix sur un bâton". Je pense qu'on doit faire une autre analyse:
1.- un salarié
qui gagne 2000.- fr et qui paye 200.- d'impôts mensuels a encore 1800.- pour "vivre"
2.- un salarié 10'000.- et qui paye 3000.- d'impôts mensuels a encore 7000.- pour vivre soit presque 4 fois plus. Sa situation est donc Õ combien plus confortable.
3.- Une entreprise qui paye des impôts et des charges élevés le doit en grande partie, tout comme le salarié "de luxe", à la masse des "petits". Sans eux pas d'impôts à payer mais aussi pas de revenu.
Un chef d'entreprise, un manager seul se retrouvera rapidement à l'aide sociale car incapable de réaliser un projet très lucratif en individuel, c'est aussi cela la solidarité.

Qu'est-ce que j'entends? Un enfant est un manque à gagner, qu'il soit fiscal ou autre n'a aucune importance. - Il faut déduire les frais de garde! Et pourquoi pas les transmettre à la communauté. Que vivent les crèches communistes tant décriées.
Honte à vous parents. Pour vous un enfant est comme une jambe amputée. Quelle philosophie de crasse, quel égoïsme, quel egocentrisme. L'enfant source de revenus comme en chine ou en Amérique du Sud. Vous me confortez dans mon sentiment que l'enfant actuellement est pondu et qu'ensuite c'est à la société de s'en occuper. Oui! comme les oeufs de poule, on les mets dans un incubateur et basta!
Mon opinion est, je crois l'avoir déjà dit: une indemnité confortable pour le parent qui reste à la maison et éduque son gosse. On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre.
Est-ce une nouvelle idée des socialos-anarchistes?

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