jeudi 4 octobre 2007

4.10.2007 Inde, extrême-orient ni éthique ni morale -- Electro...chocs -- ADN, empreintes digitales

Cet après-midi j'écoutais une émission radiodiffusée en rapport avec l'Inde. Un des thème portait sur cette foison de call centers délocalisés qui interviennent depuis ce pays sur les Etats-Unis et sur la réaction des américains face à cette intrusion. La grogne grandit et les délocalisations engendrent de plus en plus de problèmes au sein de la classe moyenne. Effet Michael Moore? toujours est-il que l'intervenante déclarait à juste titre que délocalisations et mondialisation ne profitent qu'à une minorité de super-nantis et que la classe moyenne paye le prix fort. Elle soulignait que les théories des "économistes" sont fumeuses et sans fondement.
Faisons un paralèle avec les problè
mes que Novartis rencontre avec son médicament Glivec. Les Indiens veulent en fabriquer un générique sans l'accord du "géniteur". Bien! Il m'appparait normal qu'un médicament soit à la portée des bourses des populations défavorisées (à noter toutefois qu'en Inde il bénificie surtout à la classe aisée). Que la pharma est un métier plus que lucratif et que cette pharma devrait être beaucoup plus contrôlée ne fait aucun doute, les profits sont purement scandaleux. Mais que les Indiens tout comme les Chinois détournent des brevets non pas au profit de leur peuple mais pour en faire commerce hors de leurs frontières à des prix cassés est purement et simplement du gangstérisme, cela révèle simplement qu'il n'y a aucune éthique ni aucune morale commerciale dans ces pays.
Les US, pays chantre de la mondialisation et de la globalisation, seront-t-ils à l'origine de la nécessaire dé-mondialisation et de la dé-globalisation. On ne peut que le leur souhaiter.

Le National décide l'autorisation des pistolets à électrochocs sur les refoulés récalcitrants. Amnesty international et demain peut-être les pro-moutons noirs s'indignent. Et puis quoi encore! Ces refoulés le sont après une longue et coûteuse procédure (je ne connais pas d'avocat travaillant gratuitement) financée par le citoyen qu'il soit pro ou anti immigration. L'expulsé se doit de faire preuve de retenue et s'en aller la tête haute sans aucune résistance. Si le policier doit faire usage de la contrainte le seul est unique responsable en est la "victime" et si cette dernière crie au risque de représailles dans son pays je dirai que cet un risque qu'il a pris en "bavant" sur son pays d'origine ( Méthode mise au point pour faire passer son dossier dans le pays d'arrivée). C'est ce que l'on appelle la responsabilité individuelle tant déclamée par les soci
alo-anarchistes. Je dirai aussi que dans beaucoup d'autres pays on est moins regardant avec les méthodes de refoulement.

D'un côté l'analyse ADN de l'autre côté empreintes digitales et photos. Quoi de plus normal! Les abus dans tous les domaines deviennent des éléments créateurs d'instabilités extrêmement dangereux.
Regroupements familiaux bidons (certains ont des familles "poupées russes à l'infini") d'où ADN de l'autre côté: Traçabilité et contrôle des flux migratoires intelligement désignée par actions et lutte anti-terroristes mais n'y a-t-il pas parfois d'étroites liaisons entre les deux.


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