dimanche 21 octobre 2007

21.10.2007 Barrière linguistique ou intégration? -- Zone dangereuse!..Mais non! -- Schizomoutons

Une famille de Suisses "multi-ethniques" s'installe dans la partie francophone de la Suisse. Ce choix leur a certainement été dicté par des raisons constituées par de sérieux avantages dans leur vie quotidienne (Taux d'imposition? prix du logement? cadre, tranquillité, vue sur le lac?) en fait ils ont fait le choix qui leur convenait. Pourtant pas assez. A l'image de la pseudo"intégration" des étrangers, cela ne leur suffit pas, il veulent que leurs enfants soient scolarisés en allemand donc en Suisse alémanique à 9 km de leur lieu de domicile.
En résumé ils veulent tous les avantages sans les inconvénients, on appelle çà vouloir le beurre, l'argent du beurre et la femme du laitier. Mauvais exemple, vilaine mentalité, voire égoïsme crasse! S'ils veulent apprendre l'allemand à leurs enfants, ce qui en soi est une excellente chose dans un pays plurilingue comme le nôtre, qu'ils leurs offrent des cours du soir intensifs ou qu'ils s'installent dans la partie germanophone mais que par cette tentative inappropriée ils ne viennent pas créer une brèche dans la barrière linguistique et dans la souveraineté cantonale.
Dans le vie on ne peut pas tout avoir et la plupart des êtres humains de cette planète feraient bien bien de se l'enfoncer dans leur crâne. En conclusion le DFJC a raison et je l'encourage à ne pas lâcher le morceau.

Des zones de montagne ont été classées en zone rouge (risques géologiques importants). Il est clair que cette classification gène considérablement les propriétaires de terrains à bâtir ou de bâtiments déjà construits qui ont été inclus dans ces surfaces. C'est pourtant le risque en montagne et cette menace ira en constante augmentation dans ces zones avec le réchauffement climatique et la disparition du
pergélisol (chutes de pierre, éboulements glissements de terrain, etc. ). Ces propriétaires contestent le danger pourtant déclaré par des offices compétents et sérieux. Il est clair que pour eux terminé les bénéfices juteux. Alors on se rebiffe, on veut des contre-expertises, on réfute. C'est pourtant oublier que derrière tout cela il y a des vies humaines, celles des futurs propriétaires qui auront payé leur terrain au prix du diamant et celles des propriétaires ou des locataires des appartements déjà construits.
C'est vrai que dans l'économie l'humain n'est que "peanuts" et cela ne date pas d'aujourd'hui pourvu que celui qui sait se placer à l'écart de tous les dangers se remplisse les poches allègrement.

Du mouton, du mouton et encore du mouton. Une demi-page dans notre quotidien "86'400 secondes" qui titre "Énigme, à quoi peuvent servir les moutons qu'on voit partout". Pire que la grippe aviaire, la schizophrénie du mouton gagne notre pays. Quand nous distribuera-t-on enfin du gigot gratuitement car il va y avoir bientôt pléthore.
Existe-t-il un vaccin contre la schizomoutonphrénie?

Aucun commentaire: