vendredi 7 septembre 2007

4.9.2007-7.9.2007 Je m'adresse des excuses

Je m'envoie des excuses (je suis le seul à écrire et à lire ce blog). Absent quelques jours pour raisons indépendantes de ma volonté! Je n'ai pas pu suivre les actualités. J'apprends cependant qu'un tsunami secoue le landerneau politique. Attaque virulente contre C. Blocher...indépendance de la magistrature et du pouvoir judiciaire, république bananière, Mussolini, fascisme. Tout le monde dérape, "pédale dans la choucroute". Il y a lieu toutefois de remettre l'église au milieu du village: en fait d'ingérence il y a déjà longtemps que le pouvoir judiciaire la pratique en "interprétant" les lois à sa sauce, en leur donnant petit coup par petit coup un tour de volant à gauche (ou à droite je n'ai pas de préférence) et en créant de nouvelles lois appelées jurisprudences, comme çà on ne se met pas le législateur à dos, et c'est ainsi que l'on crée les républiques bananières, les républiques avec justice à géométrie variable. On attaque C. Blocher de toute part pourtant, à ma grande désolation, c'est un politicien de très haut niveau qui connait ses dossiers sur le bout des doigts et à fond, qui sait administrer "une fessée" magistrale à ses détracteurs dans l'émission Infrarouge de la TSR, qui ridiculise les pseudo-verts qui ne s'occupent plus des petits pois et du climat, bref qui, par le nombre de SMS de soutien qu'il a reçu devrait faire réfléchir ceux qui veulent crier plus fort que les autres pour se faire entendre dans une foule qui leur est hostile. Ce qui se passe est misérable. P. Couchepin dépasse les bornes, lui qui n'a pas connu ni le nazisme ni le fascisme ne devrait avoir aucun droit de l'évoquer. Pour compléter ses connaissances il me parait bon de l'informer que Mussolini, au début de son "règne", a été celui qui a initié une avancée sociale en Italie sans commune mesure ailleurs (congés payés, assurances gratuites, retraites). Ce qui est certain, c'est que ce type d'action ne constitue pas le fer de lance des radicaux, c'est le moins que l'on puisse dire.
Les autres partis cherchent toutes les voies "fair et unfair" pour éviter un désastre car ils sentent bien que l'UDC va encore progresser. A qui la faute? A eux bien sûr qui ne voient pas que, pour reprendre un terme très utilisé dans les années 70: la barque est pleine.
Au fait cette progression UDC est très applaudie en Allemagne ( bien sur pas dans les sphères bien "assises") qui est confrontée à un problème similaire. Mais voilà, chez eux pas d'initiative, pas de référendum.

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