16.9.2007 Non-droit, du politiquement correct

Un stand UDC à Genève pris à partie par un agitateur qui incite les passants à manifester en utilisant violence verbale et physique. Genève deviendrait-elle une zone de ce qui est appelé abusivement non-droit alors que le terme correct devrait être de non-devoir. Les militants sur le stand gardent leur calme et ne donnent pas prise aux gauchistes-anarchistes. Différentes affaires ont affaibli la police genevoise. de querelles internes en attaques politiciennes on en arrive au résultat du laisser tout-faire ou à peu près.
Grande similitude avec ce qui se passe à Lausanne. La gendarmerie ne fait aucune confiance au politicien de gauche reponsable de la police quant à son éventuelle capacité à gérer une crise qui serait déclanchée par la venue de C. Blocher au comptoir suisse. Ce politicien doit, en dernière extrémité, affirmer vouloir défendre l'ordre public alors qu'il a toujours déclaré que la venue du tribun UDC allait provoquer des troubles ingérables. Appel à l'incivilité?
Je ne peux m'empêcher d'établir un paralèlle avec ce qui se passe à St-Denis dans la banlieue parisienne où un gérant de magasin se fait tabasser, agresser, voler à plusieurs reprises.
St-Denis est, comme beaucoup d'autres banlieues françaises, un entonnoir à immigration. Immigrants dont l'intégration n'est qu'une vue de l'esprit car impossible puisque les migrants veulent conserver toutes leurs coutumes, modes de vie, culture, etc. Les migrants d'aujourd'hui ne sont pas ceux d'il y a 30 ans, ils ne veulent pas s'intégrer ils veulent profiter de la "générosité" de leurs hôtes et ensuite seulement travailler tout en restant cependant des poches étrangères à leur milieu environnant. C'est ainsi que ces banlieues se transforment en zones de non-devoir où même les forces de l'ordre n'interviennent plus. Les gouvermements dits démocratiques sont déstabilisés et peu à peu confrontés au grandissement de régions qu'ils ne peuvent plus gouverner.