vendredi 14 septembre 2007

14.9.2007 Un bien public...au public -- Arrosoir européen

Bravo au conseil communal de Pully. Vous avez refusé de brader les biens de la commune vous opposant en cela à votre municipalité. Vous avez été courageux et intelligents. Cela devrait servir d'exemple à d'autres communes, à Montreux par exemple qui vend ses Bosquets ou aux cantons et à la confédération. Un bien immobilier public est un bien qui appartient au peuple et doit le rester. Il faudrait même, comme je l'ai déjà écrit, que tous les terrains appartiennent à la communauté et soient loués à des privés avec des baux longue durée. La qualité des matériaux utilisés actuellement ne permettent de toute façon pas des durabilités supérieures à 50 ans il n'y aurait aucun problème à pratiquer un tel système et surtout plus aucune spéculation.

L'affaire Maddie fait découvrir une autre facette du Portugal. Ce pays arrosé copieusement avec les deniers européens en est resté au moyen-âge. Pas pour ce qui concerne certaines réalisations de luxe (du pain et des jeux). Il n'empêche que ce pays continue à exporter ses résidents à un rythme soutenu, vers la Suisse notamment où ils s'improvisent entrepreneurs souvent au détriment de leurs clients. Combien de propriétaires,
dans le canton du Valais notamment, lésés par des malfaçons n'ont-elles pas des procès avec ces fameux constructeurs? Bon nombre d'entre eux se confient à leurs proches qui par la suite viennent me le rapporter. Un exemple précis: un menuisier en cours de maîtrise travaillait chez un employeur portuguais, son job: fabriquer des fenêtres. Licencié pour cause de trop de fignolage, pas assez rapide! Les fenêtres de ce fabricant ne doivent pas fermer très longtemps.

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