mardi 25 janvier 2011

25.1.2011 Péréquation financière, les petites communes se regimbent.

Le nombre de petites communes qui doivent de plus en plus payer pour les grandes villes au nom de la péréquation financière le font savoir et se rebellent. Elles disent enfin tout haut ce que bien des habitants disent tout bas: -Les villes doivent « entretenir » un nombre croissant d’étrangers. Les villes qui contestent le plus cet état de fait et poussent des cris d’orfraie sont des communes de gauche. Lausanne, Renens, etc. La Suisse ne fait pas cavalier seul en la matière, dans beaucoup de pays européens on constate, chiffres à l’appui, qu’un immigré qui rapporte 100 unités à une commune lui en coûte 135.

Nous constatons que les gens qui vont dans les pays économiquement développés n’ont, dans leur immense majorité, rien à apporter. Les immigrés qui possèdent une formation pointue, utile dans nos pays qui doivent concentrer leurs efforts à 100% dans les produits à forte valeur ajoutée, sont rares. Tout de même curieux que ces flux migratoires ne vont pas vers l’Inde, la Chine, la Corée, Singapour. A moins que ces pays-là protègent leur pré carré avec assiduité ou qu'ils ne leur offrent pas ce cocon ouatiné que leur offrent les pays dits développés (un développement qui ne leur est pas tombé de je ne sais où tout cuit dans la bouche. En employant cette main d'oeuvre incompétente on péjore gravement notre avenir économique intérieur et extérieur : la qualité baisse! Voir le nombre croissant de défauts et de malfaçons dans le bâtiment par exemple. Les archéologues du futur n’auront plus rien à voir des "monuments" du XXe et XXIe siècle en Suisse tout au moins.