Les syndicats lancent leur initiative pour un salaire minimum et comme à leur habitude sans la moindre réflexion. En sont-ils capables d’ailleurs ? Le salaire minimum est non seulement une ânerie (venant d’un organisme inféodé au gauchisme cela n’est pas étonnant) mais il prétérite tous ceux qui méritent leur salaire. Attribuer 4000.- à un incompétent, à un employé qui n’apporte rien ou peu à l’entreprise qui l’emploie parce qu’il ne s’est pas formé, éduqué ou a choisi la solution de facilité (le travail çà tue) alors qu’un ouvrier qualifié, bosseur compétent et consciencieux n’en touchera que 5000.- est quelque part discriminatoire. L’entreprise n’est pas un service social ni un organisme philanthropique. A nouveau les (le) syndicats helvétique se trompe de combat. J’ajoute et j’affirme qu’ils ne font rien pour l’emploi des seniors qui eux, s’ils ont été mal formés, bénéficient au moins d’une longue expérience et sont sensibles à la qualité du travail bien fait. Mais là : circulez y a rien à voir. Les seniors sont des gâtés du système (responsable de UNIA dixit).
D’autre part un salaire minimum de 4000.- mensuel sera une énorme aspirateur pour tous les incultes, les incompétents ou les fainéants du globe qui auront trouvé chez nous le jardin d’Eden et de cela nous n’avons pas besoin
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En fin de compte les entreprises renonceront à engager ou à garder ce personnel et ce sera à la communauté laborieuse d’entretenir tous ces inutiles.
