dimanche 9 janvier 2011

9.1.2011 C politique sur France 5

Loin de moi la volonté de m’immiscer dans la politique d’un état étranger à la Suisse. J’ai pourtant assisté avec grand intérêt au débat entre Nicolas Demorand et Jean-Marie le Pen sur France 5 tout comme d’ailleurs j’essaye d’être présent à ce rendez-vous du dimanche le plus souvent possible.

Si je fais un commentaire sur ce débat c’est que ce qui a été dit concerne aussi des répercussions sur la Suisse et notamment sur Genève et les cantons frontaliers à l’Hexagone. Il s’agit bel et bien de la criminalité croissante et de plus en plus violente qui règne chez notre grand voisin de l'ouest et qui se ramifie aussi chez nous. Monsieur le Pen déclare que cette criminalité est majoritairement le fait d’immigrés et les chiffres avérés et officiels le démontrent clairement. Nous n’entendons pas parler de criminalité transfrontalière avec l’Allemagne ou avec l’Autriche parce que ces pays n’ont pas la même immigration.

Monsieur le Pen réclame le rétablissement de la peine de mort et de vraies réclusions à vie. Je soutiens pleinement ces déclarations et j'émets le même vœu aussi pour nous. Même pour ceux qui se disent chrétiens peut-être faut-il rappeler ce texte biblique : "Ramassez d'abord l'ivraie et liez-la en bottes que l'on fera brûler ; quant au blé, recueillez-le dans mon grenier". Cela signifie bien qu’il faut éliminer la racaille non pas « l’ensiler ». J’aimerais aussi évoquer cette citation de Edmund Burke, philosophe et politicien irlandais 1729 - 1797 : « Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien » n’était-il pas visionnaire dans un certain sens

Je me réjouis aussi d’entendre monsieur le Pen dire que la Suisse est la seule vraie démocratie, certes c’est une vision quelque peu idyllique de notre fonctionnement qui doit aussi nous appeler à résister à toute velléité de la part des personnes qui s’arrogent le droit de dire qu’ils sont les seuls à détenir la vérité alors que la seule chose qu’ils détiennent est la stupidité. Je pense aussi que si les français pouvaient voter ils n'auraient plus d'euro, enverraient les accords de Schengen aux oubliettes et, à relativement court terme, quitteraient l'UE. TOUT COMME LES ALLEMANDS D'AILLEURS QUI EN ONT MARRE DE "CRACHER AU BASSINET".