vendredi 21 janvier 2011

21.1.2011 Fumée du soir contre plat du jour

Un restaurateur se fait amender pour avoir fumé une clope après la fermeture de son établissement. Pour un restaurant je considère que c’est vraiment un délit mineur en revanche lorsqu’on doit ingurgiter le plat du jour dans un énorme pourcentage d’auberges on peut dire que nous avons à faire à de la nourriture dont même les cochons ne voudraient pas. Plats remplis de sauces diverses à saveur unique et peu ragoutante, nourriture trop salée, viandes, poissons ou frites nageant dans de l’huile, etc, etc.

Félicitant une presque grand-maman tenant une petite table à Genève pour sa cuisine simple mais goûteuse et soignée, elle me donna quelques explications : la plupart des établissements sont tenus à l'heure actuelle par des portugais, des albanais ou d’autres immigrés qui n’ont jamais fait d’apprentissage de cuisinier. Ils sont arrivés en Suisse comme manœuvres et se sont improvisés restaurateurs (Merci M. Deiss).

En fin de compte on mange presque plus sain dans un Mac Do.

A quand les brigades anti-malbouffe et des amendes dissuasives pour les contrevenants çà ce serait faire preuve d’hygiène publique.

Et où sont les petits restos du terroir? Ma profession m’oblige à manger tous les jours « dehors » et dans des lieux différents, or depuis 10 ans c’est la vraie cata, je n'en trouve pratiquement pas.