28.7.2007 Re-crop circle, F - M - S et autre

Magnifique figure géométrique "gravée" dans un champ du Jorat cette fois. Il me revient à l'esprit un article paru dans un quotidien ou un hebdomadaire français au plus fort de la période "circles" il y a 6 ou 7 ans. Une équipe d'étudiants (géomètres, mathématiciens, géologues, etc. 6 au total je crois) de fin d'année de l'université de Toronto me semble-t-il, avait eu l'occasion de "s'exercer" le jour dans un champ mis à disposition par un céréalier. Plusieurs tentatives pour arriver à un résultat quasi parfait suivi par la mise en oeuvre réelle au cours d'une nuit de pleine lune. Caramba...raté!
Il n'est pas facile de réaliser de telles figures (au pluriel) en une nuit, et l'été les nuits sont courtes, à la lumière blafarde de la lune. Le piquet de référence du centre doit être très rigide et planté profondément pour ne pas faire un ovale ou un patatoïde de révolution. Au fait, aux Etats-Unis, à cette même époque, une batterie de scientifiques armés de lasers, d'instruments de géodésie et autres avaient recherché la trace des trous de centres sur certaines de ces figures. Sur les moins "belles" le centre avait été retrouvé mais sur d'autres plus élaborées pas de traces de trous ni de remplissage de trous. Les artisants-artistes humains auteurs de ces "travaux" sont très forts et très rapides mais après tout ne soyons pas si sectaires: si certaines de ces formes avaient d'autres origines qu'humaines? Alors qui et pourquoi?

Mme Calmy-Rey sur la prairie du Rütli. Bon soit! mais pour y faire quoi? pour y dire quoi?. Ce petit bout de terrain pentu fait partie des mythes de l'Helvétie naissante, disons de l'embryon de cette nation qui se voulait indépendante.
Walter Fürst , Arnold von Melchtal et Werner Stauffacher ne s'y sont pas réunis pour prôner l'immigration à tout crin, le multi-culturalisme artificiel, l'intégration étrangère mais au contraire pour y organiser la lutte contre l'envahisseur quelle que soit la méthode utilisée par celui-ci pour occuper leurs territoires (la perte de l'indépendance, de la souveraineté d'un pays peut prendre diverses formes et tous ceux qui ont encore en mémoire les avis de menaces d'une 5e colonne en 1939 savent bien que la situation internationale actuelle n'est pas coulée dans le bronze, ils laissent cette croyance à tous ceux qui font preuve d'angélisme bucolique). Cela, madame Calmy-Rey ne l'oubliez pas. 2 plus 2 faisaient 4 en 1290, 91 ou 92 peu importe et 2 plus 2 font toujours 4 en 2007, alors si l'on veut fêter l'origine du pays que l'on le fasse dans l'esprit des fondateurs de celui-ci.

J'apprends ce soir qu'un chercheur d'un institut de Davos nous apporte la preuve formelle de ce que toute personne clairvoyante avec un peu de logique sait déjà et a déjà observé, le réchauffement du climat planétaire est uniquement le fait de l'homme, le soleil n'y est pour rien. Une nouvelle convergence dans les déductions de personnes pensantes qui nous montrent que la planète est surpeuplée et qu'elle ne peut absorber les "déjections" d'autant d'humains. Ceci est aussi valable à l'échelle de notre pays.
Nous avons marqué une étape (minuscule) dans notre prise de conscience, nous avons parlé de développement durable, de protocoles divers signés et non-signés qui sont restés sans effet marquant; aujourd'hui, car demain il sera trop tard, il est nécessaire de franchir un nouveau pas en parlant de la vraie durabilité celle au développement négatif. Un développement, aussi minuscule soit-il, épuise les ressources de la planète et serait de toute façon vivement combattu car contraire aux intérêts financiers en jeu puisque insuffisant à nourrir les appétits des actionnaires. Seules des mesures répressives et contraignantes de la part des Etats peuvent parvenir à inverser la vapeur. On pourrait par exemple commencer par la gestion des déchets en introduisant des taxes d'élimination dégressives. Prenons... un GSM (c'est un objet parmi les autres qui sont éliminés le plus vite) jeté dans l'an qui suit son achat: 800.- Fr de taxe ....un GSM jeté 10 ans après son achat: une taxe symbolique.