dimanche 15 juillet 2007

15.7.2007 Sondage, mon joli sondage

Sondage dans la presse de ce dimanche. Un de plus dirons-nous. Oui MAIS celui-ci serait-il révélateur d'un réveil du bon sens populaire? La délinquance et la violence des jeunes est en augmentation quoiqu'en disent les gourous de la pensée unique, de la globalisation et les fumistologues. Ils prétendront certainement que ce sondage a été fait sur un "panel" de plus de 70 ans râleurs et grincheux.
Il faut cependant admettre que nous faisons un constat d'échec grave. Pour qui connait l'humain le dialogue c'est surtout dans la tête: -"cause toujours tu m'intéresses" et la réponse: -"j'ai le droit" ("j'ai le devoir": jamais)
La plupart des condamnés sont récidivistes car ils n'ont pas retenu la leçon.
Que le problème viennent des parents c'est un fait inéluctable on ne fait pas de l'éducation sur un coin de table, au souper, entre la poire et le fromage. C'est chaque heure de la journée et de la nuit que çà se passe. On ne confie pas l'éducation de son rejeton à des étrangers (nous ne sommes pas dans certaines sociétés africaines où le sens de la famille est complètement différent). Le punitions physiques, n'en déplaisent à beaucoup sont les seules efficaces, et la high society anglaise l'a bien compris.
Par contre je ne suis pas d'accord qu'exclure la responsabilité de la société soit de bon aloi. La société crée des besoins, souvent inutiles (combien de nouveaux "métiers" ne sont rien d'autre que des plantes parasites de la communauté humaine). On veut tout et tout de suite, et pour satisfaire ces besoins qui s'apparentent à des toc's il faut que père et mère travaillent (preuves en sont les personnes au revenu entre 120'00 et 180'000.- FrS soit 71'500 à 107'000.- € annuels qui se plaignent de ne pas tourner). Certes il y a des cas (familles monoparentales par exemple, aujourd'hui on divorce si facilement et si rapidement à la moindre petite contrariété, -" zapette du mariage et du divorce"- signe que le couple n'a plus rien de solide et de spirituel à construire, qu'il ne doit plus mettre ses forces en commun pour se battre) où il n'y a pas d'autre alternative que de laisser le rejeton à lui-même. Je pense que dans ce cas il faut mettre en place d'autres structures qui devront s'enclencher en amont de la cause de cette déficience et en dernier ressort offrir un cadre qui permet d'assurer un minimum vital éducatif au parent unique .
On ne peut pas continuer à "pondre" des gosses et laisser à la société, à l'école le soin de les prendre ne charge.

Plus tard il faudra aussi songer à rétablir la peine de mort - au nom de la responsabilité individuelle- Mais laissons ce thème de côté pour le moment il fera l'objet d'un message ultérieur.

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