mercredi 9 février 2011

9.2.2011 UNIA & Co ou l’éclair après le tonnerre

Les syndicalistes géniaux se rendent compte, 2ans après la votation sur la reconduction de la libre circulation, que tout en ce quoi ils avaient cru et qu’à grand renfort de propagande ils avaient appuyé n’était qu’une monstre imbécillité. Le constat est clair : dans le bâtiment ils estiment que 2 ouvriers sur 5 ont un salaire inférieur à celui imposé par les conventions collectives. Etant aussi très souvent confronté à ce milieu je peux affirmer que ce ne sont pas 2 mais 3 ouvriers (immigrés) qui sont dans ce cas. Nos syndicalistes ont bombé le torse en affirmant qu’il y aurait des mesures d’accompagnement, une surveillance implacable, des dénonciations. Que des paroles vides du blablabla de syndicaliste. Lorsque j’avais écrit en janvier 2009 dans le courrier des lecteurs d’un grand quotidien romand (qui curieusement m’avait publié) que cette libre circulation n’était qu’une ineptie (en argumentant de manière détaillée) j’ai reçu une bonne dizaine de lettres d’injures qui me traitaient de parasite, de personnage à courte vue. Je me réjouis de voir aujourd’hui ô combien j’avais raison et je constate à quel point chez UNIA on va vite. En France : des cités lentes, en Suisse UNIA un syndicat lent !

Les syndicalistes géniaux se rendent compte, 2ans après la votation sur la reconduction de la libre circulation, que tout en ce quoi ils avaient cru et qu’à grand renfort de propagande ils avaient appuyé n’était qu’une monstre imbécillité. Le constat est clair : dans le bâtiment ils estiment que 2 ouvriers sur 5 ont un salaire inférieur à celui imposé par les conventions collectives. Etant aussi très souvent confronté à ce milieu je peux affirmer que ce ne sont pas 2 mais 3 ouvriers (immigrés) qui sont dans ce cas. Nos syndicalistes ont bombé le torse en affirmant qu’il y aurait des mesures d’accompagnement, une surveillance implacable, des dénonciations. Que des paroles vides du blablabla de syndicaliste. Lorsque j’avais écrit en janvier 2009 dans le courrier des lecteurs d’un grand quotidien romand (qui curieusement m’avait publié) que cette libre circulation n’était qu’une ineptie (en argumentant de manière détaillée) j’ai reçu une bonne dizaine de lettres d’injures qui me traitaient de parasite, de personnage à courte vue. Je me réjouis de voir aujourd’hui ô combien j’avais raison et je constate à quel point chez UNIA on va vite. En France : des cités lentes, en Suisse UNIA un syndicat lent !