lundi 21 février 2011

21.2.2011 Les réseaux sociaux outils de déstabilisation à double face?

Le torchon brûle dans (presque) tous les pays d’Afrique du nord. Egypte, Tunisie, Algérie, Libye, le Moyen-Orient emboîte le pas Bahreïn, Iran, etc. Tous ces pays étaient ou sont gouvernés par des despotes qui ne font rien pour le peuple mais qui se remplissent plus que leurs poches sans oublier leurs parents proches, les cousins, cousines. Des dictatures de clans et de tribus dont les origines remontent à l’avènement de l’Islam.

Il était temps que ces populations se secouent et veulent se débarrasser de ces sangsues qui ne leur apportent rien. Le problème : pour quelle suite ? Comme dit la philosophie de l’Islam est archaïque et les populations se retrouveront esclaves de nouveaux maîtres, pour elles ce sera changer un borgne contre un aveugle. Des analystes estiment que ces « révolutions » ont pu se répandre comme des traînées de poudre grâce aux réseaux sociaux comme Facebook, Twitter et autres. Tout le monde s’en félicite sans trop réfléchir aux implications et aux conséquences que pourraient avoir ces dispositifs de communication incontrôlés. Ces outils présentent 2 faces et on n’en a vu qu’une, celle qui nous plaît à nous occidentaux.

Si quelques personnes mal intentionnées mais bien positionnées se mettaient à la provocation mensongère et à l’incitation à l’agitation pour leur profit personnel ? C’est loin d’être impossible alors là les gouvernants tourneront la clé qui actionnera la fermeture des vannes même si certains crieront au crime d’anti libre expression. L’économie devrait y songer et se préparer à retrouver les alternatives à la toile comme elles existaient avant les années 60.