15.8.2008 Au secours - Interdisons la burkha - Arrêtons la boulimie des promoteurs

Maman, au secours!!! M. Calmy-Rey, une conseillère fédérale sensée représenter la Suisse et le peuple suisse, se promène en Colombie affublée d'une casquette qui ne lui donne pas l'air futée, c'est le moins qu'on puisse dire et ce n'est guère flatteur pour nous. Est-ce le reflet de sa conception du pays?: Aucune identité nationale mais un mélange de n'importe quoi. La fierté nationale ne se trouve pas dans une casquette (ce serait effrayant) mais bien dans la tête, dans son attitude, dans le respect des traditions et des cultures séculaires qui ont fondé ce pays. Disons que chaque jour je suis de moins en moins surpris de l'attitude de nos édiles et mon sentiment est corroboré par l'analyse d'un ancien conseiller aux Etats lucernois.

Christophe Darbellay un PDC valaisan veut interdire la port de la burkha en Suisse. Mises à part ses motivations probables (religieuses) son initiative est excellente et devrait nous pousser à la réflexion. Qui peut se cacher derrière ce vêtement (je rappelle que le port de la cagoule est interdit lors de manifestations), un terroriste, un gangster, un assassin, un tueur en série, un pédophile ou plus simplement un semeur de m... voire un simple voleur à l'étalage (les termes utilisés sont aussi valables au féminin). Comment voulez-vous identifier le coupable équipé d'un tel accoutrement? Les étrangers doivent respecter notre mode de vie et nos coutumes que cela plaise ou non aux hôteliers genevois qui montent au créneau. Remarquons que les hôtels genevois de luxe sont très souvent en mains arabes ceci peut faire comprendre cela et leur personnel majoritairement étranger. N'en faisons donc pas un cas de conscience.

Une initiative visant à interdire de faire passer de nouveaux terrains en zone constructible a été initiée par les socialistes et les verts (Etrange que cela vienne de deux partis qui sont des pro-immigration à tous crins et sans limites) cependant cette initiative doit être soutenue il s'agit ni plus ni moins d'une question de survie pour nous (on ne parle déjà plus de durabilité).