Source RTS : « L'association "Eco-pop" suisse tient son assemblée générale ce samedi. Ecopop, pour "Ecologie-Population" est une association internationale fondée dans les années 70 et qui plaide pour le néo-malthusianisme. Cette théorie de Malthus, économiste britannique de la fin du XVIIIe siècle, affirme que la limitation démographique est le bon moyen d'assurer la durabilité de l'Homme. »
Les spécialistes bornés actuels se cantonnent à vouloir « soigner » les effets sans vouloir accepter la cause des problèmes qui préoccupent notre planète.
L’énergie : on nous dit qu’il faut économiser les ressources et en trouver de nouvelles qui devront être écologiques et pourtant en vérité elles ne le seront jamais puisque les sites de production rentables se trouvent à des milliers de km des lieux d’utilisation.
La nourriture : il faut recourir à l’agriculture intensive, à l’agrochimie, au clonage, aux engraissements chimiques et que constate-t-on ? Que des analyses récentes de laboratoires indépendants nous montrent que nous sommes soumis à toutes sortes de substances et de molécules potentiellement mortelles, cancérigènes ou au mieux allergènes, plus grave encore est que nous ignorons totalement les effets de la conjonction (interactions) de ces substances entre elles, les possibilités de combinaisons sont des X puissance 10…20…50 donc impossibles à étudier.
La pollution : il faut chauffer plus propre, rouler plus propre et nous y arrivons nous dit-on encore alors que ce qui est « économisé » d’un côté est largement dépensé en augmentation de croissance de l’autre et certaines pollutions sont inéluctables on ne peut pas s’arrêter de déféquer, de péter, de consommer de l’oxygène.
Malthus avait et a raison, si l’humanité veut durer elle doit se limiter et ce de gré ou de force. 2 milliards d’habitants doivent disparaître dans un très bref délai et pour ma part je pense que notre bonne vieille terre est en train de s’en charger avec une redoutable efficacité qui ira probablement en croissance en cela je pense aux volcans trop sages de Yellowstone et je suis heureux de constater que petit à petit l’oiseau fait son nid et que l’idée d’un monde déjà surpeuplé est en train de faire son chemin.
