Les matinales de la RSR avec son gauchiste du jour en la personne de Urs Gfeller qui d’une voix pleine d’auto-satisfaction se fait le porte-voix d’une enquête sur la qualité de la démocratie dans plusieurs pays. Il nous annonce en se frottant les mains que la Suisse n’est pas si bien placée que cela à cause de….l’opacité qui entoure le financement des partis. Est-ce vraiment important pour que le peuple décide de qui défend le mieux son intérêt, son avenir et celui de la communauté nationale ou sont-ce les idées promues par chacune des forces politiques qui feront les décisions traduites par le bulletin glissé dans l’urne par chaque individu votant. M. Gfeller laisserait transparaître que les gauchistes bénéficieraient de moins de moyens financiers et que cela pénaliserait leur promotion, ce qui au demeurant reste à prouver nos socialos étant aussi opaques que les autres partis si ce n’est plus, en revanche ils bénéficient de canaux de diffusion que les autres n’ont pas, ce sont les médias, qu’ils soient écrits ou audio-visuels, qu’ils ont noyauté par des journalistes de gauche qui organisent un « matraquage » systématique avec leurs idées destructrices.
SCAN-DA-LEUX, IN-AC-CE P-TABLE
Ce matin sur les ondes de la même radio un journaliste revient sur le décès de Annie Girardot, cette magnifique actrice vaincue par la maladie d’Alzheimer. Où il a manifestement dépassé les bornes c’est lorsqu’il a établi un parallèle entre sa maladie et les premiers cas de sida apparus dans le milieux des pédés de San-Francisco et dont une des victimes fut l’acteur Rock Hudson. Non Monsieur Pierre Bavaud vous n’avez pas le droit de mélanger les torchons et les serviettes. Rock Hudson est mort à la suite d’un comportement sexuel anormal qui a provoqué sa maladie. Mme Girardot n’a elle rien fait pour être victime de la maladie d’ Alzheimer. A force de banaliser l’anormalité on en arrive à commettre des comparaisons qui deviennent des bavures inacceptables.
ANNIE