lundi 28 mars 2011

28.3.2011 OSKAR FREYSINGER une star internationale ?

Assemblée de l’UDC ce samedi 26 mars à Lugano, le tapis rouge a été déroulé pour Oskar Freysinger.

Il fallait bien s’attendre à un tel accueil dans un canton sinistré, étranglé par les accords de Schengen et de sa libre circulation (y compris de celle des malfrats italiens), où O. F. bénéficie d’une immense notoriété. En fin de compte quoi de plus normal ! Le politicien valaisan, personnage charismatique, parle clair et vrai ; il dénonce haut et fort les dérives des politicards en place peu enclins à écouter les victimes autochtones de ce pays.

O. F. est une figure de proue d’un parti qui, de par son intelligence et sa grande culture, « enfonce » ses détracteurs et les renvoie au fin fond de leur incompétence : Un président socialo qui cache les vrais objectifs de la gauche dont le principal qui est de vendre la Suisse aux étrangers, un président des verts plus enclin à être le laquais des gauchistes qu’à faire de la vraie écologie raisonnée ( à voir la porcherie qui règne autour de « l’université » albanaise qu’il soutient), un président du PDC qui louvoie comme un bateau ivre, qui ne formule aucune proposition claire ou des solutions économiquement viables ou ciblées quant aux libéraux-radicaux, chez eux c’est la cacophonie et le vide sidéral.

Les déclarations de Oskar Freysinger ont le mérite non seulement d’être claires et constantes mais aussi des avertissements précis, justes et motivés.

Cette constance a été largement médiatisée non seulement chez nous mais aussi à l’étranger, il devient le mentor de nombreux partis injustement qualifiés d’extrême droite et la bête noire de partis traditionnels européens pour qui il parle trop vrai ce qui à terme risque de les empêcher de faire avaler des couleuvres à leur population.

NB : voir l’excellent article « Vu de droite » paru dans le Matin du dimanche 27 mars rédigé par Marc Bonnant dont je retiendrai cette phrase : L’identité…le métissage l’altère ; l’altérité la corrompt