mardi 3 mai 2011

3.5.2011 Que la vérité sur notre avenir est difficile à sortir

Que la vérité est difficile à sortir. Petits morceaux par petits morceaux on prend conscience et on ose enfin le dire que la plupart des affirmations faites par l’union sacrée gauche – Avenir Suisse sur les prétendus bienfaits de la libre circulation et de l’immigration sont fallacieuses et dangereuses pour nous.

La cherté du franc suisse par rapport aux autres monnaies engendrera une perte de 120'000 emplois donc 120'000 chômeurs de plus.

Les entreprises étrangères qui viennent travailler sur sol suisse pratiquent systématiquement la sous enchère salariale, 38% d’entre elles ont été prises sur le fait et ce n’est probablement que la pointe de l’iceberg. Il n’empêche qu’il s’agit ni plus ni moins de concurrence déloyale qui péjore gravement nos PME donc l’emploi chez nous.

J’ai cité volontairement Avenir suisse dont le chantre romand nous explique avec des arguments dignes de tentatives d’alignement de noix sur un bâton que cette main d’œuvre nous est nécessaire et que pour les accueillir il faut densifier l’habitat, construire des barres à la française des années 60 et des appartements à la mode Tokyo qui ne sont que de vulgaires clapiers à lapin ou de gros tuyaux d’égouts. Bien sûr que pour ces « gourous de l’économie » cette densification n’est pas actuelle, pour « penser » ils ont besoin de villas de luxe de 250m2 et d’un bon terrain d’au moins 1500 m2 avec clôture et caméras de surveillance (il ne faut pas mélanger le bas peuple corvéable avec ceux qui se prétendent être l’élite de notre société). On nous prône encore et toujours le multicultu. Partout où il y a mélange d’origines le seul point commun (à l’instar du Tea party aux USA) est le fric, c’est aussi cette valeur unique et si facilement plus grand dénominateur commun des soi-disant valeurs multinationales que l’on veut nous imposer en ne nous parlant que de pouvoir d’achat donc de fric et de la manière de le dépenser. Peuple suisse de souche quand donc te réveilleras-tu ? Les patrons, comme lors de la crise des années 70, diront-ils à leurs chefs d'ateliers: priorité aux Suisse, licenciez les étrangers! Et pourtant ce serait la voix de la sagesse.