mercredi 25 mai 2011

25.5.2011 Travail Suisse se lance dans les « sciences » divinatoires

Les ma(ou)abouts de T()avail Suisse ont ma(ou)abouté. Les p()ofesseurs nous prédisent qu’en 2030 il manquera 400'000 paires de bras pour notre économie. Elles sont formidables toutes ces études qui relèvent de la boule de cristal. Travail Suisse une association de Nostradamus. Le seul hic est comment va se développer notre avenir ? Récession ? Crise ? Décroissance ? Manque de nourriture saine (j’entends par là non toxique et gustativement acceptable) ? Extinction de la vie humaine sur notre planète suite à nos excès ? PERSONNE NE PEUT LE DIRE. Restons-en donc à aujourd’hui et aux proches lendemains.

Il faut utiliser les seniors ! Il y a longtemps qu’on le dit. Il faut donner du travail aux jeunes ! C’est en priorité leur apprendre que ce ne sont pas les loisirs et les amusements qui leur mettront de quoi se nourrir dans leur assiette (tu gagneras ton pain à la sueur de ton front disaient les ancêtres). C'est vrai dans l'idée: utilisons toutes les forces vives locales en priorité. Formons-les, réhabilitons-les et apprenons-leur que se tortiller les fesses sous des hurlements musicaux ou passer la majorité du temps à des jeux vidéos ne les fera pas vivre.

Les romands plus intéressés par la politique française que la politique suisse.

Il faut bien suivre les mauvais, très mauvais exemples, de chez notre grand voisin hexagonal. Triste mais correspondant à la mentalité de médiocres qui existe chez bon nombre de nos concitoyens.

DSK se fait accuser de viol et voilà que tout un panel d’édiles qui l’excuse, pratique le déni. Les sympathisants socialos (le parti jardin d’enfants de la république) qui crient, comme pour Polanski, au scandale.

Des citoyens et des élus politiques rendus fous de rage par le démontage des panneaux avertisseurs de radars ou par l’interdiction d’appareils détecteurs qui crient « alors quoi on n’a plus le droit de tuer en rond avec notre bagnole ».

Des ministres impliqués dans des affaires plus ou moins discutables.

Des pédophiles qui, sortis de prison, recommencent.

De plus en plus de meurtres et d’agressions qui sont souvent le fait de récidivistes et d’immigrés ou de progéniture d’immigrés « bien intégrés ».

Alors avant de savourer tous ces comportements délictueux on devrait plutôt chercher à nous améliorer et à ne pas suivre de tels exemples.